Adrien DRIOLI, conseiller délégué au Sport et jeunesse, rappelle l’importance du choix des mots. « Il n’y a pas de vidéoprotection mais de la vidéo-surveillance et de la vidéo-verbalisation. La présence humaine protège, la vidéo, non« .
Depuis 20 ans, l’investissement massif dans la vidéo-surveillance n’a pas prouvé son efficacité. Au contraire, la nouvelle équipe municipale hérite de la création de collectifs d’habitant·e·s en colère, telle La Presqu’île en colère.
La sécurité et la tranquillité des Lyonnais·e·s passe par une politique équilibrée, qui allie prévention et sanction, avec une présence humaine (la police municipale notamment) au cœur du dispositif.
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