Sous la 5e république, l’élection présidentielle est toujours un moment démocratique révélateur.
Martine SOUVIGNET rappelle que les Lyonnaises et les Lyonnais ont largement voté pour l’ensemble des forces de gauche (35%) lors du 1er tour des présidentielles, loin devant M. Macron et Mme Lepen, malgré une forte abstention. Ils se sont exprimés pour une plus grande justice sociale, des services publics plus efficaces, tournés vers nos concitoyen-ne-s les plus en difficulté.
Elle réaffirme que les élu-e-s LYEC prendront en compte cette espérance et ces demandes au fil de leur mandat municipal, dans le cadre de leurs compétences.
Dans une république démocratique, laïque et sociale, l’échelon municipal est fondamental dans l’articulation des aspirations des habitant-e-s avec les politiques publiques nationales : pour les accompagner quand elles leur sont favorables, ou les combattre dans le cas contraire.
L’élection présidentielle est toujours, sous la 5e république, un moment démocratique révélateur.
Malgré une forte abstention (18% au premier tour et 24% au deuxième) l’ensemble des forces de gauche, sur la ville de Lyon, a recueilli 34,97% au premier tour contre 25,69% pour E. Macron et 7,26% pour M. Le Pen.
Ce sont d’abord les quartiers populaires et les classes sociales victimes de la politique néo-libérale du président Macron qui se sont exprimés pour une plus grande justice sociale, des services publics plus efficaces, tournés vers nos concitoyen-ne-s les plus en difficulté.
Les élu-e-s LYEC prendront en compte cette espérance exprimée au premier tour au fil de leur mandat municipal, dans le cadre des compétences qui sont les leurs ; ils seront attentifs aux demandes des habitant-e-s pour l’amélioration de leur vie quotidienne, de leurs services publics et de leur cadre de vie.
Dans une république démocratique, laïque et sociale, l’échelon municipal est fondamental dans l’articulation des aspirations des habitant-e-s avec les politiques publiques nationales : pour les accompagner quand elles leur sont favorables, ou les combattre dans le cas contraire.
Les élu-e-s LYEC feront entendre la voix des plus faibles, de ceux et celles qui sont en difficulté, vivant dans nos quartiers des minima sociaux ou de petits salaires (familles mono-parentales, retraité-e-s…) pour lesquels la solidarité de proximité est parfois vitale.
Enfin les élu-e-s LYEC seront à l’écoute, avec les institutions concernées, d’une jeunesse mise en difficulté par la crise sanitaire, qui aspire à retrouver l’espoir d’un parcours d’études et de formation professionnelle cohérent, dans une ville favorisant les choix de chaque citoyen-n-e dans le cadre de l’intérêt général.