Nous avons a déjà eu l’occasion d’exprimer notre inquiétude quant à la disparition du centre hospitalier Sévigné, dont la fermeture des portes est annoncée d’ici la fin de l’année, après plus d’un siècle d’activité.
Pouvons-nous accepter que cette institution lyonnaise, qui dispense environ 100 000 consultations à l’année, puisse fermer ses portes pour des raisons financières ?
Pouvons-nous nous résigner et ne pas entendre la mobilisation des professionnels de santé qui redoutent un cran de plus passé dans la difficulté d’accéder aux soins à Lyon ?