Nouria MAHMOUDI présente le dispositif «Ville Vie Vacances». Ce dispositif permet d’apporter une participation financière aux associations organisant des activités socio-éducatives pendant les vacances scolaires.
Il s’adresse prioritairement à un public âgé de 11 à 16 ans qui peuvent être en situation de rupture ou d’échec scolaire, en difficulté d’insertion sociale ou susceptibles d’entrer dans des comportements incivils.
Elle rappelle quelques chiffres édités par l’Observatoire des inégalités : en 2014 « un quart des enfants ne partent pas en vacances. C’est le cas pour 5% des enfants de cadres supérieurs contre 34% des enfants d’ouvriers et 50% des enfants des familles les plus modestes. »
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Ce rapport nous permet d’explorer à présent un tout autre levier d’action de la stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance. Il agit en complémentarité du dispositif dont nous venons d’approuver la programmation.
Le dispositif « Ville Vie Vacances » permet d’apporter une participation financière aux associations organisant des activités socio-éducatives pendant les vacances scolaires. Ce dispositif s’adresse prioritairement à un public âgé de 11 à 16 ans qui peuvent être en situation de rupture ou d’échec scolaire, en difficulté d’insertion sociale ou susceptibles d’entrer dans des comportements incivils. L’objectif éducatif visé étant de les inscrire dans une démarche de projet, d’encourager l’initiative et l’engagement.
En ce qui concerne notre arrondissement, Il s’agit d’allouer une subvention de 3000€ à la Maison pour Tous des Rancy pour des projets dont vous trouverez le détail en page 2.
Mais aussi l’octroi de deux subventions de 500 et de 250€ à destination de l’association ADOS pour l’organisation de deux séjours de vacances. – détails en pages 7 et 8
Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour vous rappeler ces quelques chiffres édités par l’observatoire des inégalités. En effet, en 2014 « un quart des enfants ne partent pas en vacances. C’est le cas pour 5 % des enfants de cadres supérieurs contre 34 % des enfants d’ouvriers et 50 % des enfants des familles les plus modestes. »
Les crises successives que nous traversons, ne venant pas -je le crains- amender ces tristes constats. Par conséquent, j’attire à nouveau votre attention sur l’importance de ces dispositifs éducatifs et de la nécessité de les soutenir.
J’appelle de mes vœux à ce que nous puissions d’ailleurs nous engager d’avantage encore … En leur ouvrant, notamment, la porte de nos équipements. Quel meilleur témoignage de notre soutien, de la confiance que nous leur accordons.
Je vous remercie.